Aït Menguellet

Artiste / groupe : Aït Menguellet
Genre : kabyle
Vrai nom : Abdenbi AïT MENGUELLET
Naissance le : 16/01/1950

Paroles : Ageffur - traduction / Aït Menguellet     Ajoutées par : quelquun

Averse - (Ageffur)

J’aurais aimé croire qu’après ta mort
Je pourrai te retrouver au pays de mes promesses
Devant toi je me retrouverai et palperai ton visage
Pour espérer ainsi une place auprès de ton cœur
Ce pendant il y a ceux qui rêvent de la vie et ses malheurs
Devrions les laisser raconter, ceux-là qui en reviennent
Les yeux n’ont nullement vu ce qu’il devrait en être
Et personne n’en est jamais revenu pour nous le dire
Et personne n’en est jamais revenu pour nous le dire

J’aurai aimé croire que le monde devienne meilleur
Comme l’espoir de voir les rêves se réaliser
Pour que puisse la sagesse régner et le bien renaître
Ce jour ou chutera le mal, car son tour est déjà passé
Mais en y pensant, comment l’on peut y croire en voyant ce qui se passe
Même ceux qui portent l’espoir, ils se sont lassés, ils sont en larmes
Mais comment peuvent-ils croire quand ils voient la misère
Ceux qui la connaissent quand ils la fuient, elle les pourchasse

J’aurai aimé croire que le souffrant se rétablisse
Et que tout les maux du monde trouveront remède
J’aurai aimé croire que la mort devienne un rêve
Et chacun avant de la rejoindre soit repu de la vie
Mais ce n’est nullement le cas, que celui entre ses mains
Celui-là n’y peut plus rien, lorsqu’elle vient, elle le suborne
Quand on a cherché après lui, cette dernière nous a précédé et l’a emporté
Alors qu’hier il était parmi nous, aujourd’hui il n’est plus des nôtres
Alors qu’hier il était parmi nous, aujourd’hui il n’est plus des nôtres

J’aurai aimé croire si ces années-là
Se figent sur les instants de bonheur
Les jours de malheur, ceux qui guère nous enchantent
L’on soit triste ou souffrants, qu’ils passent leur chemin
Mais trop vite, la jeunesse nous a quittés
Quand on y a pensé, trop tard elle est partie en un éclair
Mais la vie ne s’arrête, elle n’attend nullement nos désirs
Si l’on peut profiter ! Sinon préparons-nous à la tombe
Si l’on peut profiter ! Sinon préparons-nous à la tombe

La grêle et la pluie coursèrent le froid
De ce temps maudit que peut-on dire
La brume qui dévale les montagnes
Sur toutes nos maisons, étendue
Espoir d’un couplet qui en vaudra bien son pesant d’or
De ce temps comme celui-là, à quoi peut-on penser
Si ce n’est aux cauchemars que le passé nous a légué
Le printemps tant attendu, que le cœur délaisse de sa brume
Ce jour là, nous réciterons ces poèmes en filigrane de nos espoirs
Ce jour là, nous réciterons ces poèmes en filigrane de nos espoirs
Ce jour là, nous réciterons ces poèmes en filigrane de nos espoirs
Ce jour là, nous réciterons ces poèmes en filigrane de nos espoirs
Ce jour là, nous réciterons ces poèmes en filigrane de nos espoirs

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